27 July 2024

Scandale à la Coupe du Monde de rugby : l’ANJ perturbe l’événement du siècle !

La fête du ballon ovale gâchée par l’ANJ : une campagne inutile et coûteuse

Lors de la Coupe du Monde de rugby, l’Autorité Nationale des Jeux (ANJ) a décidé de gâcher la fête en lançant une campagne de sensibilisation contre les jeux d’argent. Cette initiative, financée par les contribuables, a pourtant peu de vertus, si ce n’est celle de populariser des termes du jargon du rugby tels que “cocotte”, “biscouette”, “chistera” et “pilou pilou”.

Cette campagne inutile s’inscrit dans les dérives du principe de précaution, qui mènent à un totalitarisme de la morale et de la santé publique. Il est curieux de constater que cette prétendue maladie du jeu profite en réalité à un seul acteur : la doxa du jeu pathologie maladie. Il est grand temps de recentrer les politiques des jeux nationales en responsabilisant les joueurs et en se questionnant sur les limites du contrôle de nos sociétés.

Les décisions néo prohibitionnistes de l’ANJ ont des conséquences désastreuses pour certains opérateurs, comme en témoigne la réduction de 25% des mises de la Française des jeux suite à une nouvelle formule moins addictive. Cette chute de chiffre d’affaires a même conduit à une baisse de l’action FDJ en bourse.

Une campagne du régulateur sous la domination de la doxa du jeu pathologie maladie

L’ANJ, obsédée par l’addiction au jeu, poursuit son combat néo prohibitionniste contre les jeux d’argent. Sa campagne de sensibilisation pendant la Coupe du Monde de rugby, intitulée “Le rugby a ses codes, le pari aussi”, illustre bien cette obsession.

Pourtant, cette fête du rugby, qui passionne les foules et réunit des millions de téléspectateurs à travers le monde, aurait pu être l’occasion de célébrer ensemble autour d’une même passion. Malheureusement, l’ANJ préfère stigmatiser les joueurs susceptibles de parier pour soutenir leur équipe favorite.

On peut légitimement se questionner sur l’indépendance de l’ANJ, qui compte parmi ses membres des addictologues avec des a priori extrémistes sur les jeux d’argent. Comment peut-elle prétendre être une autorité administrative “indépendante” alors qu’elle est clairement influencée par cette doxa du jeu pathologie maladie ?

Il est grand temps de remettre en question cette politique des jeux thérapeutique, qui présente systématiquement les jeux de hasard comme une drogue et une addiction. Il est nécessaire de comprendre que cette doxa promeut ses intérêts professionnels et financiers sous prétexte de santé publique.

En conclusion, la campagne de l’ANJ pendant la Coupe du Monde de rugby est une fois de plus la preuve du totalitarisme de la morale et de la santé publique imposé par le régulateur. Il est temps de faire preuve de bon sens et de responsabiliser les joueurs, sans pour autant imposer des mesures liberticides draconiennes. Alors n’hésitez plus, si vous êtes passionnés par les jeux d’argent, profitez-en avec modération et sans culpabilité.